Pangée
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Depuis 200 ans, la guerre perdure partout sur la terre. Le combat oppose les humains aux démons. Il y a aussi les mutants qui jouent un rôle important dans le conflit. Mais au final, qui gagnera?
 
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 Azazel Gadriel

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Azazel Gadriel
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Azazel Gadriel


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MessageSujet: Azazel Gadriel   Azazel Gadriel Icon_minitimeVen 21 Oct - 21:02

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AZAZEL GADRIEL
À vous en mettre plein les yeux...

Prénom: Azazel Ibrahim, surnommé Azée par quelques peu nombreux intimes.
Nom: Le nom le plus pur existant, issu d'une famille au sang le plus démon qui soit. Gadriel.
Âge: 21 ans
Sexe: Masculin
Race: Démon. Quel mal y a-t-il de l'avouer?
Nationalité: Allemagne

Pouvoir: Aucune autre faculté spéciale que celles dont m'a doté la génétique. Mes dons n'ont pour moi rien de bien spécial. Ils ont une signification. Contrairement à mes voisins les pauvres humains, je sais courir. Je sais sauter. Je sais me battre. Contrairement à eux, mon corps n'est pas qu'un amas de muscles et d'os empotés. Car comme les miens, je suis démon, un être pur et parfait.

Armes: Je possède une courte dague qui passe de père en fils depuis des générations aux plus prometteurs de ma famille. En tant que seul héritier de mon paternel, je me suis permis de l'arracher du cadavre de celui-ci et de la porter comme la mienne. Sa lame est légèrement recourbée et elle est inscrite d'un symboles d'une langue perdue, oubliée qui signifie, je crois «Les plus grands règnent.».

Métier: Être beau et tais-toi? Non... Conseiller de la Grande Dame d'Allemagne... Malheureusement... *sourire* J'agis aussi comme interprète, en plus de mon rôle très important de consultant de l'armée. Et parfois même, quand il le faut, de protecteur de Miss Sophia Vendels ou de soldat dans les rangs. Pourquoi pas.

Physique: Je ne suis pas petit, ni géant non plus. Mon mètre soixante dix-huit me satisfait pleinement. Alors que beaucoup de démons cherchent la carrure la plus impressionnante, je sais faire fonctionner avec une très grande efficacité ma silhouette de chat frêle. Petit minou n'est pas si fragile qu'il en a l'air. L'entraînement, le défoulement et la chaleur dans mes muscles me procure un très grand plaisir. Il est donc presque facultatif de mentionner que mon corps est bien dur, bien découpé; toutefois sans artifices. Mes membres sont longs et se terminent par deux grandes mains aux doigts effilés et deux grands pieds minces. Ceux-ci ne m'emtravent pas, au contraire. Ils sont de parfaits instruments à ma grande agileté, me permettant de sauter plus loin et de nager avec fougue. Mes épaules sont bien carrées, bien droites, et assurent à ma silhouette un peu de redressement et de droiture.

Ce corps long et agile me donne une démarche quasi féline, quoique plus assurée, plus droite et franche, comme celle de mon père, la définition d'un vrai homme. Lorsque je me mouvoie, je ne fais que très peu de bruit, telle une ombre qui glisse le long d'un mur. Seule mon aura trahit ma présence, emplissant toute la pièce qui m'entoure, inévitable pour mes voisins. Certains appellent cela du panache. Moi, un manque du subtilité. Les langues les mieux pendues me disent en lèche-bottes que je dégage une aura de superiorité. Bah...

Mon visage est ce qui est de mieux réussi chez moi à mon opinion. Il est long et se termine magnifiquement de ma mâchoire bien carrée, découpée au ciseau. Mon menton se retrousse en deux bosses bien définies qui n'enlèvent rien du charme de cette fabuleuse mandibule. Parfaitement accordées avec ma bouches aux lèvres minces et pâles, les bosses de mon menton jouent un rôle crucial dans l'harmonisation de mon visage. Mes grandes dents blanches et plutôt pointues auraient l'air quasi bestiales sans elles. Grâce à elles, mon sourire, lorsque je me donne la peine de le faire, paraît avenant, franc et même presque beau et amical. Mon nez est plutôt difforme, bossu dans l'arête, mince, long, jusqu'à mes narines qui s'étirent malgré elles. Brisé lors de mon adolescence, mon nez penche un peu vers la gauche mais seul un oeil aussi averti que le mien saurait détecter ce léger détail. Parlant d'oeil, mes yeux sont deux petits charbons ardents, bien hauts dans ma figure. Ils sont de nature expressive et offrent mes états d'âmes tout à fait gratuitement aux premiers venus. Quels traîtres...

Ma peau est d'une blancheur saine. Malheureusement pour moi, je n'ai pas hérité du sang arabe de mon père qui m'aurait procuré une belle peau sombre mêlée d'ocre. Je n'ai su obtenir de lui non plus sa longue chevelure raide et noire de jais. J'ai plutôt une tignasse indomptable de cheveux blonds mêlés de quelques subtils reflets brunâtres. On ne peut toujours obtenir ce que l'on veut dans la vie il faut croire. Heureusement mon physique me satisfait pleinement, malgré ses maigres défauts.

Psychologique: Je suis un être complexe. Mon coeur est porté à aimer, mais mon âme a horreur d'autrui. Ce qui fait que je me blesse sans cesse à aimer des gens que je repousse chroniquement. Compliqué oui. Blessé depuis toujours au plus profond de mon être, j'ai du mal à établir des relations stables, cohérentes et saines. Elles sont si peu nombreuses... J'essaie réellement de travailler sur moi, surtout depuis qu'une profonde introspection m'a poussé à désirer changer mes comportements. Je deviens trop comme Hassan. Je n'aime pas ça. Comme lui, j'ai une attitude plutôt froide envers le monde, détachée. Comme lui, mille choses m'intéressent et je suis très intelligent. Comme lui je calcule le moindre de mes mouvements, je ne fais rien sans préalablement y réfléchir. Ce qui explique mon malaise du moment. Je commence à faire des choses qui ne me ressemblent pas, qui sont spontanées, irréfléchies, téméraires. Je cherche à savoir pourquoi.

Je suis aussi semblable à Hassan du fait que je suis violent et impitoyable. Mais contrairement à lui, je sais entendre raison. Je sais contrôler mes colères, je sais les faire passer de façon calculée et intelligente. Elles sont nombreuses, car trop privé durant l'enfance, chaque frustration se transforme et s'enfle. Je suis capricieux, entêté. Ce que je désire, je le veux tout de suite et je fais tout pour l'obtenir. Je suis ambitieux. Alors que mon père, malgré sa forte tête, léchait les bottes d'autrui pour mieux régner, je règne avec la force de tout mon caractère. Je suis passionné, je me laisse porter par mes passions, mes envies. Je me laisse être un enfant gâté. J'aime profiter de ce que j'ai, de ce qu'on me donne. Lorsqu'on me tend quelque chose, je le prends.

Je suis quelqu'un qui peut se montrer aussi poli que grossier. Je sais agir avec plus fort que moi, manipuler, avec moins d'aisance qu'Hassan, bien sûr, mais j'y ai tout de même un certain talent. Mais je sais aussi détruire ce qui m'irrite, ce qui est plus faible que moi. Je suis très à l'écoute et j'enregistre tout ce qui se trouve autour de moi. Toutes les informations sont pertinentes pour moi.

Je sais me montrer quelques fois, très doux, très chaleureux. Les gens qui savent me toucher ressortent ce côté enfoui de mon être. Je me surprends à le voir de plus en plus souvent, surtout depuis que j'ai rénové le manoir à ma façon et y est installé ma vieille nounou, ou ma mère, Isabella. J'ai l'impression d'être en train de changer. Toutes mes émotions sont aiguisées comme des rasoirs et beaucoup plus puissantes qu'à l'habitude, moi qui est pourtant sentimental. Elles sont en train de me déchirer de l'intérieur...

Histoire:
Si l'on devait être juste il faudrait remonter plusieurs siècles en arrière pour parler de moi. Je ne suis que ce que l'on m'a fait après tout. Mais je ne m'attarderai ici qu'aux faits, qu'à ceux qui sont importants pour comprendre ma personne.

Hassan Gadriel, mon père, était comme son père avant lui un guerrier. Un vrai. Un guerrier reconnu et aimé de tous. En plus de ces talents à la guerre, il savait parler huit langues couramment et était un génie des mathématiques et de la physique. En tant que porte-étendard de la famille Gadriel, une prestigieuse et très ancienne famille de démons, il avait une influence considérable sur les différents dirigeants de ce monde, surtout ceux qui sont de notre côté. Mais comme son père s'était installé en Allemagne pour chasser les humains après la Deuxième guerre mondiale, c'est toujours en ce pays qu'il revenait après ces longs voyages «diplomatiques». Son coeur se portait volontiers des élans envers ce bon pays de fiers démons.

Hassan, mon père, était doté d'un autre don. Celui du charisme. Celui-ci foudroyait quiconque s'était risqué à venir lui serrer la main. Devant lui, tous tombaient comme des mouches alors qu'il les attrapait dans sa toile d'araignée. Pas étonnant qu'il se lia rapidement d'amitié avec le couple allemand en pouvoir, les Vendels.

Devenant leur homme de main et plus important conseiller en l'espace de quelques années, plusieurs apprirent à le craindre et le respecter comme un homme de sa stature se devait de l'être. D'une main de fer, il aida les Vendels à assouvir leur pouvoir tentaculaire sur ce pays d'Europe et à repousser les limites de leur grande inflence dans le monde démon. Dévoué, amoureux, adhérant aux principes des Vendels, il les servait comme un chien.

Mais la nature d'Hassan n'a jamais été de croupir l'échine. Aussi se retrouva-t-il rapidement à les détester amèrement et à souhaiter leur destruction immédiate. Il ne mit jamais à exécution son plan car il fut passagèrement distrait pas une femme que l'on disait exceptionnelle. Blonde comme les blés, plus belle que le soleil couchant et douce comme un agneau, Alicia Clément n'avait pas une chance contre lui. Démone défendant la vie, peu importe laquelle, quelle soit humaine, animale, démone ou végétale, elle était la voie modératrice des Vendels. Rapidement, la jeune femme devint une menace pour Hassan qui se mit à la désirer et la haïr. Elle qui était son anti-thèse savait en un coup d'oeil lui fermer la gueule et calmer son sang bouillonant.

Il l'épousa. Ce que l'on ne peut vaincre, on s'en fait un allié, dit-on. Amoureux fou, haineux fou, il lui fit construire le plus beau des manoirs, à quelques pas de cette famille qui était la raison de leur désaccord. Alicia avait l'impression d'avoir calmé le caractère violent d'Hassan, de l'avoir changé pour le mieux. Elle arriva même à le rendre ''végétarien'', ce qui le tua pratiquement.

Les deux tourtereaux, vivant dans un chaos total, s'aimaient pourtant passionnément et de la façon la plus pure qui soit. Alicia supportait les emportements d'Hassan et celui-ci se laisser dominer par sa douce tendresse. Bientôt, la graine de vie germa en ses entrailles et c'est avec satisfaction que tous deux observèrent le ventre de la jeune femme s'enfler à vue d'oeil. La grossesse de ma mère fut pourtant très difficile. Malade, faible, hésitante à vivre, elle se laissa bercer dans l'incertitude de sa victoire sur ce mal qui la rongeait de l'intérieur, sur ce petit être qui, elle le devinait bien, serait bien plus celui de son mari que le sien. Épuisée, brisée, elle donna naissance dans les plus terribles souffrances. Pour perpétrer le nom de ses ancêtres, Hassan me prénomma Azazel.

Alicia, quant à elle, mourut une quarantaine de jours plus tard. Elle me laissa donc entre les griffes de mon père. Me rendant responsable de la mort de sa bien-aimée femme, il se mit à m'élever en gardant une certaine distance avec moi. Ainsi débuta ma vie. Avec un premier deuil. Je garde quelques souvenirs de ma mère dont j'ignore même s'ils sont réels... Une douce odeur parfumée, une main délicate, une mèche blonde trempée de sueur, un sein réconfortant... Je ne puis dire s'ils ne sont que mon imagination ou non.

Je fus élevé, durant les premières années de ma vie, par une jeune femme du nom d'Isabella, d'origine espagnole. Gentille mais ferme, elle me menait par le bout du nez. Elle dit que j'ai d'abord hérité du caractère doux de ma mère, que j'étais timide et silencieux. Elle me raconte parfois encore comment j'aimais tout découvrir, comme je ne me méfiais de personne. Isabella me dit qu'elle s'ennuie de ce petit garçon si doux lorsque nous nous querellons. Douée dans les langues, elle me bourra le crâne en m'apprenant l'allemand, l'espagnol et l'anglais, en plus de l'arabe qui était ma langue maternelle (décision, vous vous en doutez, de mon père). Elle me lisait des histoires effrayantes, mes préférées, adoucie par mes supplications. J'ai eu un début d'enfance très agréable et rempli de rêves.

Mon père brisa mes rêves un à un. Trop noble, disait-il pour l'école, il prit en charge mon éducation alors que je n'avais que six ans et que je ne savais que lire, écrire et compter (en plus de parler quatre langues). Je devais rester près de lui tout le jour et l'accompagner partout où il allait. Il ne me permettait pas de rigoler, ni de jouer avec les autres enfants. Il m'accordait le rare privilège par contre de me mêler à la marmaille des Vendels... Une seule petite fille nommée Sophia. Je m'y attachai aussitôt, bien que pas autant qu'elle à moi. Au début du moins. Je n'avais guère le temps de me prêter à des jeux avec le bambin, par contre. Vite, Hassan m'entraîna à une vitesse effrénée dans le monde adulte. À coup de mathématiques, d'économie, de politique, de physique, d'italien, de français, d'histoire et de chimie, il assomma la moindre petite parcelle de l'enfant doux que j'avais été. Le matin, il m'obligeait un entraînement rude, militaire, que je détestais. Il me punissait gratuitement, haineusement. J'avais beau chercher en lui quelque tendresse, je me butais à chaque fois à un mur de glace impénétrable. Malgré celui-ci, je pouvais tout de même voir sa grande fierté qui a toujours été ma seule consolation. Il me faisait réciter des grandes citations des grands philosophes aux grands dirigeants qui étaient ses grands amis. Hassan détruisait tout ce que j'aimais et ce qui me faisait paraître faible. Il me corrigeait sévèrement quand il me surprenait à pleurer ou à me plaindre. Isabella me recueillait, le soir, et je tombais de fatigue dans ses bras. Elle ne pouvait rien dire. Elle avait peur de lui. Moi aussi.

Je voulais tant lui plaire que je finis par enchaîner tout ce qu'il me disait de faire sans chigner. Il eut bientôt horreur de mon obéissance et me traita encore plus durement. Je vieillissais rapidement, dans la routine épuisante imposée par mon paternel que seuls ses voyages à l'extérieur savaient briser. J'en profitais alors pour sortir, rencontrer des amis, protéger la petite Sophia et fumer en cachette. Vers l'âge de quatorze ans, j'haïssais tant Hassan que je me disais tous les jours que je le tuerais. Je lui faisais de plus en plus tête. Il ne pouvait plus me frapper à présent. Il ne pouvait plus rien contre moi car j'étais presque un homme, tout juste un brin plus faible que lui. J'en profitais donc pour m'enfuir de la maison, parfois durant de longs jours, pour découvrir le monde à ma manière. Fatigué de mon comportement, il m'envoya dans un pensionnat, loin de la maison.

Le pensionnat fut pour moi une renaissance. Malgré les règles strictes que je devais suivre, j'étais bien plus libre qu'à la maison. Je découvris ce que c'était de côtoyer d'autres garçons, d'épier les filles dans les douches des vestiaires et de voler des cigarettes dans les dépanneurs. C'était la belle vie. Je me couchais le soir près de mon magasine porno, en souriant bêtement. Je riais d'Hassan. Il ne pouvait rien contre moi ici!

J'entamais ma dernière année de pensionnat quand mon père fut assassiné. Je suis rentré et ai identifié son corps inerte et mutilé. Le voyant ainsi, brisé, sans vie, quelque chose s'est déclenché en moi. Je me suis mis à pleurer. Cela a duré plusieurs heures. Je refusais de quitter le cadavre d'Hassan. On me laissa ainsi, accroché au mort, à ruminer ma peine. Je n'ai jamais eu la chance d'entendre de sa bouche «Je t'aime mon fils». Je pleurais pour cette partie manquante de mon être et qui plus jamais ne pourrait être réparé. Je me sentais coupable de ne pas avoir tenté de l'amadouer à la place de lutter. Je vis toujours avec ces remords aujourd'hui. Je voulus le venger, mais quelqu'un le fit avant moi. On retrouva le Grand Maître assassiné le lendemain. Je récupérai sur le corps de mon défunt père qu'une seule chose, la dague de ma famille et qui me revenait de droit.

Je suis retourné au pensionnat. J'ai terminé ma dernière année, puis suis rentré à la maison. Je n'y suis resté que quelques mois avant de m'enrôler dans l'armée et de laisser libre cours à mes tendances violentes. Je fis deux ans à l'armée. Je revins plus tard au manoir pour y rester. Sophia Vendels venait d'être nommée chef. Je décidai donc de lui servir de conseiller et d'homme de main. J'ai construit ma propre petite business qui me rapporte aujourd'hui beaucoup d'argent et dont je n'ai qu'à peine à m'occuper. Je vis une vie relativement paisible et vis avec mon ancienne nounou, Isabella.

Autre: Un tatou en forme de croix enjolive le côté droit de ma poitrine. (voir avatar).

Avatar: Alex Pettyfer.
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LA PERSONNE DERRIÈRE LE CLAVIER

Prénom: Alex
Âge: 18 ans (haha, seule majeure ici Razz)
Pays où vous habitez: Ô Canada... Mon pays, ce n'est pas un pays, c'est l'hiver...
Hobbies/passion: Musique, écriture, lecture, etc.
Où avez-vous découvert le forum?: Ma soeur est l'Admin donc... Je crois que ça répond à la question!
Autres: Non.
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Azazel Gadriel
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Azazel Gadriel


Messages : 18
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MessageSujet: Re: Azazel Gadriel   Azazel Gadriel Icon_minitimeMar 25 Oct - 17:40

Terminé!!
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Alice Trancy
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Alice Trancy


Messages : 97
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MessageSujet: Re: Azazel Gadriel   Azazel Gadriel Icon_minitimeMar 25 Oct - 18:28

Après plusieurs heures de lecture (je blagues!), j'ai terminé de lire ta présentation! Pour la longueur, je n'ai évidement rien à redire! Donc je t'accepte très chère soeur d'amour chérie! Mais bon vraiment j'aurais quand même aimé que tu écrive moins! J'ai autre chose à faire!^^ Bon RP Azazel!


Dernière édition par Alice Trancy le Mar 25 Oct - 18:47, édité 1 fois
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Mina Trancy
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Mina Trancy


Messages : 63
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Age : 28

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MessageSujet: Re: Azazel Gadriel   Azazel Gadriel Icon_minitimeMar 25 Oct - 18:34

Hahaha! Ouf c'était long à lire ça! Mais c'est bon, c'était vraiment intéressant à lire, on voit que ça vient de quelqu'un d'expérimenté. Hmm, Alex Pettyfer...xD

Bon sans blagues...Bienvenue sur Pangée!
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Azazel Gadriel
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Azazel Gadriel


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Age : 31

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MessageSujet: Re: Azazel Gadriel   Azazel Gadriel Icon_minitimeMar 25 Oct - 18:53

Merci ^^ *s'inscline*

ÉDIT: Tant mieux si tu as pu te rincer l'oeil Wink
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MessageSujet: Re: Azazel Gadriel   Azazel Gadriel Icon_minitime

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