Drôle de rencontre (Pv. Alice et Perrin)

Dans l’une des nombreuses forêts du Québec se trouvait une grande demeure à l’allure royale. C’était presqu’un petit château. Mais en fait, pour ceux qui connaissent l’endroit savent qu’il s’agit d’un refuge pour orphelin ou enfant abandonné après avoir subi des expériences. C’était un endroit paisible et chaleureux. Un vrai petit paradis. Du moins, c’était ce que pensait Alice. Elle avait travaillé pendant si longtemps pour faire de cet endroit un lieu de paix et de sérénité. Elle était très contente d’avoir pu venir ici pour se reposer un peu. Depuis quelques mois, elle était toujours en mission. Les enfants de l’orphelinat lui permettaient de lui changer les idées et de la rendre paisible. «Merci à ceux qui rendent possible l’existence de cet endroit», se dit-elle.

Comme à son habitude, elle décida d’aller prendre sa marche nocturne. La forêt bien qu’immense, elle la connaissait par cœur. Elle commença donc sa marche sans trop se soucier d’où elle allait. Car de toute façon même si quelqu’un l’attaquait, elle savait se défendre. Le spectacle de la nature de nuit était tout simplement sublime. La plus part du monde aurait été effrayé par les bruits étranges et les animaux qui rodent. Mais pas elle. Alice adorait ça! Après près d’une heure de marche, elle sentit une présence près d’elle. C’était un animal. Un loup probablement. Mais étrangement, elle sentait aussi en cette bête une présence humaine. Un mutant? Ça ne pouvait être l’un des enfants de l’orphelinat. Elle dit donc d’une voix douce, mais ferme :

-Qui es-tu? Que fais-tu chez moi?

Perrin, après son voyage en Chine, avait repris son trajet. Il avait parcourut l'océan entière sur un bateau qui n'était vraiment pas le grand luxe. Mais étant donner que les matelots avaient accepter de le laisser voyager avec eux en échange d'un coup de main sur le bateau. Finalement il était arriver en Amerique, au Canada pour être précis. Il salua les matelots et parti, s'enfonçant dans ce pays qu'il ne connaissait pas. Après quelque jours de marche un peu au hasard, il arriva dans une forêt.

Perrin ce changea en loup, la magie du moment ne pu être admirée par personne car il s'était déjà enfoncer dans la forêt de plusieurs mètres. Il se coucha près d'un buisson et s'endormit...

Dans son rêve, Perrin, était sous forme animal, il se voyait a l'âge de 5 ans lorsqu'il était encore sous la protection de ces parents. Il se voyait jouer avec une balle sous les rires et le regards de ces parents. Perrin était sur le point d'attraper la balle dans sa gueule lorsqu'un ours sorti des brousaille et attaqua la famille reunies. Le mutant se réveilla instantanément, il ouvrir un de ces yeux de la couleur or et observa autour de lui. Il senti une odeur similaire a la sienne dans les parages. Il se releva donc, se secoua le poil et se mît en marche vers l'odeur. Perrin s'avança encore plus loin dans la forêt et il entendit un bruit de pas. Il suivit en silence la jeune femme au cheveux blanc sans faire un bruit, mais au bout d'un petit moment la jeune femme s'arrêta, elle avait détectée sa présence. Le loup sorti de l'ombre et s'avança vers la jeune femme. Sachant très bien qu'il ne pouvait pas communiquer avec les gens sous forme animal grâce a sa dernière expérience et elle avait parler dans une langue qu'il connaissait. Il reprit donc forme humaine laissant a la femme aux cheveux blanc le temps d'admirer la transformation sans forcément le vouloir. Sachant que sous forme animal, il ne pouvait parler que aux animaux, il repris forme humaine devant la jeune femme. Sa transformation ne faisait pas peur, car tout cela ce passer de un très rapidement et de deux il était entouré d'un halo lumineux qui empêcher de voir Perrin directement. Le loup fut entouré d'un halo ayant la couleur de l'or, mais qui ne semblait pas faire de lumière. En regardant bien on pouvait voir la façon dont cela se produisait, mais on ne voyait aucunement la peau de Perrin. En regardant l'on pouvait donc apercevoir le loup se mettre sur deux pattes, la queue se volatilisée, le museau s'enfoncer pour ressortir en un nez, les griffes devenir des doigts et des orteils, ainsi que la taille augmentée un peu. Perrin, maintenant sous forme humaine, s'inclina devant la belle jeune femme. Étant a présent sous forme humaine il pouvait admirer la beauter d'une personne ayant une forme humaine.

- Je me nomme Perrin, Perrin Aybara, veuillez m'excuser. Je ne savait pas que j'etait sur votre territoire, j'en suis sincèrement désoler.

Le jeune garçon aux yeux bleu très clair et au cheveux bruns regarda le sol gêner de la situation dans laquelle il se trouver.

[HRP: Désolé c'est un peu court... Mais bon je me reprendrais quand j'ai plus de temps!]

Le loup qui se présenta à elle était vraiment magnifique. D’un pelage blanc immaculé et des yeux de couleur doré. Sa fourrure paraissait si douce, qu’elle eut l’étrange envie d’y toucher. Il y avait, malgré cet air farouche, beaucoup d’intelligence dans ce regard. Ce qui lui confirma qu’elle se trouvait face à un mutant. Elle ne fut donc pas vraiment surprise lorsque la bête, soudain, se transforma en homme. Alice pu bien voir la transformation du mutant même si elle s’était faites très rapidement.

C’était un spectacle fascinant. Il y avait cette lumière qui émanait de tout son corps. Cette soudaine brillance l’aveugla quelques peu, mais elle put tout de même voir les pattes devenir des bras et des jambes, le museau devenir un nez et les yeux autrefois or devinrent bleu. Le jeune homme qui se trouvait désormais avait de beaux cheveux bruns. Il s’excusa auprès d’elle d’avoir pénétré sur son territoire. «Drôle façon de parler… Quoi qu’on pourrait dire que c’est mon territoire même si je préfère dire que c’est celui des enfants.». Il regardait le sol comme s’il était gêné. Alice se dit qu’il ne devait pas être dangereux et ne cherchait pas à faire du mal à ses enfants. Elle en fut contente, car elle ne voulait pas se battre.

-Relève la tête Perrin. Je suis désolé d’avoir été sur la défensive. Mais ici habite de jeunes personnes qui ont déjà trop souffert. Je suis Alice Trancy. Bienvenue chez moi!

Elle lui sourit pour lui montrer sa bonne foi. Elle ne savait pas pourquoi, mais cet homme l’intriguait. Il dégageait toujours quelques choses d’animal.

-Si je ne me trompe pas, tu es un voyageur. Si tu veux, tu peux passer la nuit dans ma demeure. Elle est à trente minutes de marche d’ici.

A la demande de Alice, Perrin, releva la tête. Ces yeux plus clair que le ciel ou l'océan la regardèrent avec une lueur un brin admiratrice, c'était bien une des premières dois que on ne le prenait pas pour une bête de foire ou bien pour un danger. Et pourtant il c'était transformer juste devant elle. Une fois qu'il releva la tête, le loup observa un peu mieux Alice. Il pu remarquer que elle était encore plus belle que auparavant. En tout cas c'est l'effet que cela lui faisait. Elle avait des cheveux de la couleur de la neige ce qui plu beaucoup a Perrin, mais aussi des yeux aussi rouge que le sang. Malgré le fait que l'on aurait pu penser qu'il s'agissait d'une enfant le loup vit dans les yeux de Alice une intelligence comme peut de personnes possédaient. Lorsqu'elle lui appris que des enfants vivait sur ce territoire il fut ravis. En effet, Perrin était un grand adorateur des enfants. Beaucoup de bébé animaux venez le voir lorsqu'il vivait encore chez ces parents, des bébés avec qui il avait grandi. Une lueur de tristesse voila, l'espace de quelques secondes, le visage du jeune homme, mais très vite la joie revint en place. Elle lui parla de "voyageur", le loup se frotta l'arrière du crâne... Il savait avoir déjà entendu ce mots, mais n'en connaissait plus la signification exact.

- Je... Je suis désoler, mais... Pourriez-vous me donner une signification du mots voyageur ? Pour tout vous avouer je suis né et est était élever dans la forêt, ce sont mes parents qui mon tout appris et leur savoir n'était pas infini, bien qu'il déjà était grand.

Perrin admira beaucoup Alice pour sa grande intelligence lorsqu'elle lui répondit, même si pour elle cela était apparament un mot assez commun. Elle lui avait aussi dit que il pourrez allez chez elle pour passez la nuit s'il le souhaiter. Un sourire dévoilant les crocs de perrin éclaira son visage, c'était bien la première fois qu'une personne faisait preuve d'autant gentilesse a son égard.

- Merci beaucoup de m'inviter chez vous ! Et veuillez me pardonner d'avoir pénètrer votre territoire et celui des enfants !

Trente minutes ? Il n'en faudrait que 15 a Perrin sous forme animal. Il se retransforma donc, les membres disparaissant et reapparaissant a l'inverse de la première fois, mais toujours entourer de ce halo doré. Perrin une fois complètement sous forme animal remua un peu la queue et tenta de communiquer avec elle.

*Puis-je vous demander de monter sur mon ? Nous irons beaucoup plus vite ainsi.*

Mais ce ne fut pas un succès. Il se baissa donc pour lui faire comprendre.

Alice ne savait pas trop pourquoi, mais elle s’était prise d’affection pour cet inconnu. Elle se disait que son orphelinat était surtout un refuge. Alors qu’un mutant même s’il était adulte pouvait y résider pour une nuit. Il lui paraissait si sage et innocent à la fois. Ce qu’elle aimait chez cet homme était son honnêteté. Il lui paraissait vrai. Elle répondit donc sans arrogance dans la voix à sa question.

-Un voyageur c’est une personne qui part d’une destination à une autre plus ou moins loin. Comme toi qui se déplace d’un lieu à un autre. Peut-être que le terme vagabond, nomade ou pèlerin te serait plus familier.

Le sourire de ce garçon était mignon et effrayant à la fois. Même sous forme humaine, il gardait la denture imposante des loups. Mais en même temps, à ce moment-là ce sourire n’avait rien de carnassier, bien au contraire. Elle fut contente que son geste le touche. Mais dans sa maison de trois étages, il y avait de l’espace pour tous! Il s’excusa encore une fois d’être entré chez elle. Elle lui avait depuis longtemps pardonnée. Mais en temps que protectrice des lieux, elle se devait de prévoir toutes les possibilités.

Alice fut très surprise lorsqu’elle l’homme se retransforma en loup. Ce spectacle était vraiment impressionnant. Elle ne pensait pas qu’elle pourrait s’y habituer. Au début, elle ne comprit pas vraiment où le loup voulait en venir. Pourquoi s’était-il transformé? Lorsqu’il se baissa, elle comprit. Il voulait qu’elle monte sur son dos. Elle ne sut trop quoi faire, mais l’animal semblait si sur de ce qu’il faisait qu’elle se décida. Elle monta sur son dos. Comme elle l’avait pensé plus tôt, sa fourrure était très douce. Elle comprit pourquoi à une certaine époque, au Canada on chassa pour se procurer des fourrures. Mais elle préférait de loin voir un animal en vie la porter!

-Pour aller chez moi, dirige-toi vers le nord, dit Alice en pointant la direction en même temps.

[HRP : Voici une image du manoir en question.]

Perrin attendit que Alice monte sur son dos et lui donne la direction pour ce mettre immédiatement en route. Il marcha d'abord sur une courte distance espérant faire comprendre à Alice qu'il fallait qu'elle se tienne pour ne pas tombée. Puis il se mit à allez un peu plus vite. Enfin, il finit par courir le plus vite qu'il le put donna l'impression de ne plus toucher le sol. Tout en continuant d'avancer à une vitesse qui paraissait presque anormale Perrin réussissait à étudier assez le terrain pour ne pas atterrir sur une mauvaise pierre ou dans un trou qui l'aurait fait basculé. Tout au long du chemin il écouta les indications que Alice lui donner pour arriver chez elle. Perrin Finit par ralentir, puis il se remis à marcher et finalement s'arrêta à bout de souffle, il n'avait jamais courut à cette vitesse aussi longtemps. Il laissa Alice descendre, puis il repris forme humaine. Lorsque les yeux de Perrin eurent retrouver leurs couleurs bleu clair, il s'effondra sur le sol, les yeux ouverts, mais à bout de souffle.

Perrin se releva avec un peu d'aide et s'appuyant contre le tronc d'un arbre observa l'immense bâtisse. Cela ressemblait beaucoup à un manoir. Il était composé de trois étages et fait en pierre blanche et un peu rouge. Perrin avait, il faut le dire des étoiles dans les eux. Voir un bâtiment aussi grand n'était certes pas très uniques, mais avoir cette taille et une beauté comme celle-ci c'était très rare ! Perrin se dirigea vers Alice qui, déjà, c'était éloigner en direction du bâtiment.

- Comment appelée vous cet endroit déjà ? Pardonnez mon ignorance, comme je vous l'ai déjà dit, je suis né dans une forêt !

Perrin se mit à rougir un peu de part son ignorance, le rouge de sa timidité ce voyant fort bien sur sa peau pâle. Il se cacha un peu avec ces cheveux ayant honte de rougir ainsi. Perrin une fois qu'il eut repris un peu d'assurance et surtout repris son souffle, s'avança vers le bâtiment toujours à la suite de Alice. Il la trouvée vraiment magnifique, ces longs cheveux ondulants dans son dos, ces membres fins se balançant de chaque coter de son corps lorsqu'elle marche, Perrin ce mit à rougir à nouveau. Il secoua la tête chassant ces pensées de lui.

- C'est vraiment très grand ! Y a t-il beaucoup de monde chez vous ?

(HRP: Désolé si ça a été long répondre... Chez moi Noël c'est sacré!^^ En tout cas, joyeuse fête! J'ai essayé de faire ça plus long que d'habitude!)

Au début, Perrin n’alla pas trop vite pour ne pas faire tomber sa passagère. Mais après un moment, il se mit à accélérer considérablement. C’était vraiment une expérience hors du commun. Alice avait souvent fait du cheval. Il y en avait même dans sa demeure (les enfants adoraient l’équitation). Mais ça! C’était à un autre niveau. Elle était si exaltée. Elle sentait le vent faire virevolter ses cheveux. Elle avait le sentiment extraordinaire de liberté. Donc lorsqu’ils arrivèrent à sa maison Alice était essoufflé et avait les joues rouges. Elle avait eu tant de plaisir en si peu de temps. Lorsqu’elle se retourna vers Perrin, il était en train de reprendre son souffle. Elle n’avait pas vraiment réalisé jusqu’à présent à quel point ça avait dû être difficile de la porter ainsi pour si longtemps. Alice le remercia donc timidement.

Après l’avoir laissé soufflé un peu, elle avança vers la maison pour lui montrer le chemin. Elle était contente qu’il l’ait suivi. Elle eut tout de même une petite voix dans sa tête qui lui dit qu’elle ne connaissait rien de cet homme. Qu’il était peut-être dangereux. Si sa sœur la voyait, elle serait probablement en train de lui crier dessus et de lui dire le mettre ce mutant dehors. Son frère lui ne dirait rien puisqu’il était toujours trop occupé avec son ordinateur. Mais bon, derrière ses beaux yeux bleus, elle ne voyait pas de méchanceté. Son sixième sens ne la trompait jamais.

-N’ait pas peur de me poser des questions, certains enfants ici n’avaient jamais vu la lumière du soleil avant que je les sauve. J’aime pouvoir aider. On appelle cela une maison. Mais vu la grandeur, on peut dire manoir. Il accueille des enfants qui n’ont plus de parent donc c’est un orphelinat. Un refuge pour toutes les jeunes âmes.

La rougeur qui montait aux joues de l’homme était adorable. Il paraissait plus vieux qu’elle de quelques années. Il avait parfois l’air très mature et à d’autre moment aussi innocent qu’un nouveau né. C’était à la fois intrigant et déroutant.

-En ce moment, il y a vingt-et-un enfants et trois employés permanents. Donc vingt-quatre personnes habitent ici. Mais je crois que bientôt je vais ramener d’autre enfant. Près Calgary, il y a un centre de recherche qui fait des expériences illégales sur des enfants. Je vais donc aller leur rendre une petite visite.

Ils entrèrent finalement dans la maison. La porte qu’ils venaient d’utiliser les amenait directement dans la salle à manger. C’était une pièce immense puisque c’était ici qu’était cuisiné les plats pour toute la maisonnée. Alice fut heureuse de voir que Mme Colman était partie se coucher. Elle n’aurait pas à expliquer la présence de Perrin pour le moment.

-Est-ce que je peux te servir quelques choses à boire? Thé, café, jus, lait, bière? J’ai de tout ici!

Perrin fut étonner du nombre d'enfant qu'il y avait dans ce... Comment déjà ? Ah oui, dans ce manoir ! Ça avait beau être un très grand bâtiment qui pouvait acceuillir du monde ce n'était pas forcément facile tout les jours ! Ils entrèrent dans le manoir, Perrin fut un petit peu retiscent a l'idée d'enfreindre a nouveau une règle de territoire, mais il s'y força ! Il entrèrent dans une pièce que Perrin penser connaitre, mais il préféra ne rien demander ne voulant pas ce dévaloriser une nouvelle fois devant Alice, cette dernière parut d'ailleurs soulagée pour une raison qui échappa au mutant. Elle lui proposa de boire quelque chose. Mais il ne connaisser rien de ce qu'elle pouvait lui proposer ce fut tout naturellement qu'il annonça.

- Pourrai je avoir de l'eau s'il vous plait ? C'est la seule boisson que je connais réellement ça c'est la seul que l'on trouve dans la forêt.

Perrin détailla un peu la pièce dans sa tête et d'un seul coup alors que Alice était parti cherche ce qu'il lui avait demander il perda connaissance. En l'espace d'un instant son corps se retrouva sur le sol, il avait beaucoup trop utiliser son pouvoir, et courir a cette vitesse en portant Alice l'avait épuiser encore plus ! Les yeux de Perrin était un peu vitreux a cause de la perte de conscience, son esprit fut plonger dans le noir le plus total pendant ce qu'il pensa être, lorsqu'il reprit conscience, ces paupière papillonèrent un peu cherchant a s'extirper du voile sombre dans lequel il avait était plonger, la premier personne qu'il fut Alice, mais il ne sut pas dire où ils étaient et comment étaient ils installés ! Perrin referma un peu les yeux et tenta de se relever pour reprendre totalement conscience. Il ne distinguer pas si il faisait jour ou nuit et cela l'ennuyer un peu car il ne voulait pas que Alice pense qu'il avait fait exprès afin de profiter de son hospitalitée. Quelque chose fut presser contre ces lèvres ce qui les força a s'ouvrir et un liquide coula dans sa bouche, il reconnu l'eau qu'on était entrain de lui donner, il entendait plusieurs voix autour de lui, ou peut être une seule ! Une chose était sur, il avait trop forcer sur ces capacités ! Perrin tenta de réouvrir les yeux, et enfin il aperçut nettement le regard d'Alice plonger dans le sien, et souria tel un enfant, un sourire pur et innoncent.

[Hrp : Desoler c'est court, mais j'ai essyez de t'offrir le plus de possibilité possible !]

Alice se sentit stupide. Voyons s’il avait vécu toute sa vie dans une forêt, il était logique qu’il ne connaisse pas l’existence du café et de la bière! Mais bon, c’était un réflexe pour elle. Elle décida donc d’aller chercher une bouteille d’eau dans le gros congélateur. En fait, c’était une pièce réfrigéré car il y avait tellement de bouche à nourrir ici qu’il se devait d’avoir beaucoup de nourriture. Après avoir pris une bouteille d’eau, elle se prit une boisson énergisante (du style gatorade) car elle avait besoin d’une grande quantité de glucide après avoir pris sa marche. Ensuite, elle retourna dans la cuisine. Mais lorsqu’elle sortit, il n’y avait personne. Elle eut peur soudain qu’il soit parti. Où pire, qu’en réalité dès le départ il avait voulu s’attaquer au enfant. Elle se traita de tous les noms. Mais après avoir contourné un comptoir, elle vit un homme étendu au sol.

-Perrin! Perrin! s’écria Alice en le secouant doucement.

Quelle sotte elle était! Elle qui connaissait si bien les mutants et les limites de leur pouvoir. Comment avait-elle fait pour ne pas remarquer à quel point il était exténué. Elle appela M. Colman pour qu’il l’aide à le transporté dans sa chambre. Cette maison était vraiment équipée pour toutes les occasions. Il y avait même une civière à porter de main et un ascenseur pour le monter jusqu’au troisième étage où se trouvait la chambre d’Alice. Une fois installé sur le lit, elle demanda à ce qu’on lui apporte une bassine d’eau et un linge. Une fois qu’elle eut tout le matériel, elle congédia tout le monde pour que Perrin puisse se reposer en paix. Elle lui chantait doucement comme elle le faisait avec les enfants lorsqu’ils arrivaient à l’orphelinat souvent traumatisé. Si elle n’avait pas eu cette habitude des états de crise, toute la maisonnée se serait réveillée. Mais malgré l’incident, tous les jeunes dormaient à point fermé. Elle mit sur le front de Perrin le linge humide.

Quelques heures plus tard, Perrin ouvrit les yeux. Il semblait perdu, mais au moins il était réveillé. Il faisait nuit dehors donc dans la chambre il faisait plutôt sombre. Elle prit la bouteille d’eau qu’elle comptait lui donner plus tôt et en fit couler un peu dans la bouche. Elle aurait du lui servir la boisson énergisante, mais elle eut peur que le goût le surprenne et qu’il s’étouffe. Le loup finit par rouvrir les yeux. Il souriait. Donc Alice lui sourit en retour. Elle remouilla le linge et le redéposa sur son front.

-C’est rare qu’un garçon se retrouve aussi vite dans mon lit! rigola Alice un peu gênée. Est-ce que tu as faim? Quand je me réveille après avoir trop utilisé mon pouvoir, je suis moi aussi épuisé. Tout ce que je veux faire, c’est manger et dormir. Donc après avoir pris un morceau tu pourras te recoucher.

Perrin sourier toujours à Alice et il rougit lorsqu'elle commença à parler, il était... dans son lit ?! Il s'empressa de chasser ces pensées de son esprits Il répondit au question de Alice d'une voix quelque peu faible.

- Non, je n'est pas tellement faim après tout, je suis surtout fatigué, mais je ne vais pas déranger plus que de raison, je ne voudrais pas vous privée d'un lit dont une personne pourrai avoir plus besoin que moi, j'irai dormir dehors, dans la forêt près de l'orphe... Hum... J'ai encore oublié le nom de cete batisse excusez-moi s'il vous plait...

Il se leva faisant tombé le linge posé sur son front, il ouvrit les yeux, et posa un regard étonné sur le morceau de tissus encore un peu humide, il se toucha le front et se rendit compte que ce dernier était un peu mouillé. Il y avait encore tellement de chose qu'il ne connaissait pas dans ce monde... Il repoussa les couvertures et se mit assis, il posa les jambes sur le sol et se mit debout, mais très vite il retomba sur le lit, il avait été pris d'un vertige, il s'était sûrement levé trop vite... Il recomença et cette fois il tomba sur le sol se rattrapant de justesse avec ces mains.

- Je crois que, si cela ne vous dérange pas je vais vous emprunter votre lit pendant encore une petite heure ou deux bien que je sache que cela et malpoli.

Il tenta de se redresser et y parvint avec beaucoup de mal, il se mit assis sur le lit et regarda Alice, leur regarde se croisant, son coeur manqua un battement, puis il se mit à battre très vite. Le jeune homme posa une main sur son coeur et ses yeux s'ouvrir à cause de l'étonnement, cela était la première fois que son coeur allez à cette vitesse, Alice avait sûrement rien manquée de se "spectacle" car il avait les cheveux un peu mouillé par la sueur et ils était collé à son front dégageant son visage. Il leva doucement les yeux vers alice, et une teinte rouge colora doucement son visage contrastanr avec ces yeux bleu clair. Il se recoucha avec l'autorisation de Alice et s'endormit directement.

A son réveil Alice était nouveau a ces coter, et elle semblait dormir elle aussi. Elle avait du restée au près de lui tout le temps que elle avait dormit ! Cela fit battre le cœur de Perrin plus fort encore... Il sourit, d'un sourire franc et la regarda dormir jusqu'à ce qu'elle se réveil, lorsqu'il qu'elle ouvrait les yeux il se remit coucher normalement. Il la vit se redresser un peu et commença a parler.

- Je suis désoler de vous avoir emprunter votre lit, et je voudrais si vous l'accepter faire quelque chose pour vous en retour ! Merci d'avoir pris soin de moi, mais vous n'auriez pas du je ne suis qu'un inconnu... Il tourna la tête du coter opposer a Alice, c'est vrai, j'aurais pu être une mauvaise personne, et je... Je ne veux pas qu'il vous arrive malheur !
[HRP : désoler du temps de réponse, j'ai eu quelques soucis]

[HRP: Désolé du temps d'attente! Merci de ta patience!]

Alice était un peu inquiète que le jeune homme n’ait pas d’appétit. Après tout ça faisait déjà plusieurs heures qu’il ne devait pas avoir mangé. Mais bon, parfois lorsqu’on se sent faible, la faim ne vient pas. Lorsqu’elle le vit qu’il se levait, elle allait protester. Elle ne fut pas surprise de le voir s’assoir dès qu’il fut debout. Alice l’aida à se relever. Il lui demanda de rester dans son lit encore un instant. Elle ne protesta bien sur pas. De toute façon, elle avait dormir dans des endroits bien pires. Elle était très bien capable de trouver sommeil sur un fauteuil qui était tout de même bien confortable.

Perrin était un jeune homme surprenant. Il était très gentil. Il paraissait si innocent lorsqu’il dormait. Son trouble était attendrissant. Elle devait avouer être elle-même troublée. Alors que le garçon était endormi depuis seulement quelques minutes, le portable d’Alice sonna. C’était l’un de ses plus précieux informateurs. Elle sortit donc de sa chambre pour allez dans son bureau qui était dans la pièce adjacente à celle dans laquelle Perrin dormait. Elle décrocha.

-Qu’est-ce que tu as?
-Le centre à Calgary. Ils ont eut trois nouveau aujourd’hui. Les scientifiques doivent arriver dans une semaine. Si tu veux agir c’est dans les prochains jours. Je te conseille dimanche prochain. Selon l’horaire, les gardes de sécurité de ce soir là est quelques peu réduit car il y a eu beaucoup de demande de congé. Ils veulent tous regarder le football à ce qui parait… Ceux qui restent sont des jeunes avec peu d’expérience mais qui sont sur entrainer. Ils seront très forts. Il parait même qu’il y aurait des mutants parmi eux. Ils seront surement très assidu dans leur travail comme ils sont peu nombreux.
-Très bien. Merci. Autres choses?
-Non. Seulement soit prudente.

Ses conversations étaient toujours efficaces. Elle recevait l’information puis c’était terminer. Elle se chargeait du reste. Elle retourna donc dans sa chambre après avoir préparer un plan sommaire. Elle voulait dormir un peu avait de faire le plan final. Elle retourna donc sur sa chaise. Après une quinzaine de minutes, elle s’endormit. Elle se réveilla lorsqu’elle sentit un regard se poser sur elle. Sans même avoir la chance de dire quoi que ce soit, il lui dit qu’il lui était redevable. Elle allait le rassurer et lui dire qu’il n’avait pas à se sentir obliger. Mais elle eu une idée.

-Il y a peut-être une chose que tu peux faire pour moi… Comme je te l’ai dit plutôt, je sauve des enfants. J’aurais besoin d’une aide dans ma prochaine mission que je dois faire d’ici quelques jours. Si tu acceptes, j’aimerai que tu m’accompagne à Calgary qui est à l’Ouest d’ici. Je te préviens, ce n’est pas une mission sans danger.

Perrin regarda à nouveau en direction de Alice, un sourire illumina son visage. Si il accepté, ils se faisaient une promesse en quelques sorte. Ils se promettaient de se revoir et de passer du temps ensemble, même si ce n'était pas vraiment un moment où ils seraient seul et tranquille, mais qu'importe ! Perrin ferma les yeux et respira calmement. Le sourire sur son visage s'effaça. Elle avait dit que ce ne serait pas une mission sans danger aucun... Certe il avait déjà vécu beaucoup de chose mettant sa vie en jeu, mais jamais volontairement ! Il fallait qu'il réfléchisse. Son coeur lui disait "Vas y fonce, saute sur l'occasion de la revoir !", mais son esprit lui disait "Prend ton temps pour réfléchir, ce n'est pas une mission sans importance...". Perrin ne savait vraiment pas quoi faire. Il posa intérieurement le pour et le contre... Puis il finit par se décider.

Perrin rouvrit les yeux et regard Alice droit dans les yeux. Il annonça avec une voix neutre et un ton pourtant sérieux.

- Très bien, je t'accompagnerai, cela sera un plaisir et de la même manière j'espère pouvoir remboursé ma dette envers toi.

Perrin cligna des yeux, et l'air adulte qu'il avait prit plutôt disparut, il repris son air enfantin, le sourire au lèvre et le regard léger. Il repoussa les couvertures et se releva. Il tenta tant bien que mal de coiffer ces cheveux ce qui n'était pas chose aisée. Il laissa tombé ces cheveux et se dirigea vers Alice, se souvenant des conseils de sa mère, il lui tendit la main pour l'aidée à se levée. Une fois qu'elle fut debout elle put surement apercevoir le rouge sur les joues de Perrin, elle avait une peau si douce. Il se força à lui lâchée la main, bien qu'a regret. Son regard plongea à nouveau dans celui d'Alice et cette fois il fut transporter. Il n'arriver plus à détacher son regard du sien. Il ne put résister au fait de reprendre la main d'Alice dans le sienne. Ce fut un grondement venant du ventre de Perrin qui rompis l'effet de la scène. Ce ne fut pas pour autant qu'il lâcha sa main. Le rouge s'empara à nouveau des joues du loup, et il demanda sur un ton enfantin.

- Tu veux bien m'indiquez la cuisine, je crois avoir une petite faim.

Perrin rigola un peu attendis la réponse de Alice.

[HRP: C'est un peu court... Mais bon je ferais mieux au prochain!]

Alice attendait impatiemment la réponse du jeune homme. Elle le voyait hésiter. Elle ne s’était pas demandé si Perrin était capable de se battre. Elle venait de réaliser à quel point sa demande était stupide. En fait, elle voulait seulement que Perrin reste encore un peu. Elle aurait du lui proposer quelques choses un post de gardien dans son orphelinat. Mais bon, encore une fois, ça aurait été stupide car le jeune homme-loup était une personne libre. Elle l’imaginait mal de rester à un seul endroit. Au fond, il se ressemblait beaucoup. Alice aussi devait bouger beaucoup. Ce n’était pas pour rien qu’elle avait plusieurs résidences un peu partout dans le monde. Elle avait bien sûr un faible pour son orphelinat, mais tout de même.

Elle fut très surprise lorsqu’il accepte. Elle avait trouvé le côté adulte de Perrin qu’elle venait de rencontrer fort charment! Puis ses yeux innocents revinrent. Il était si facile pour elle de faire rougir le jeune garçon. Il l’aurait vu rougir elle aussi si ce n’était qu’Alice savait parfaitement caché toutes ses émotions. Elle n’avait pas eu le choix d’avoir ce talent car lorsque l’on fait une mission d’infiltration, il est important de ne jamais laisser rien paraître. Elle rit lorsque Perrin demanda le chemin de la cuisine.

-Ça tombe bien Perrin, le déjeuner vient d’être servit pour les enfants. Ça te dirait de manger avec eux??

Alice attendait anxieusement sa réponse. C'était inconsciemment un test qu'elle lui faisait faire. Ah les femmes et leur test!

Perrin fut aux anges lorsqu'il entendit le rire cristallin de Alice, tout comme sa voix, son rire était doux. C'est avec des étoiles dans les yeux qu'il écouta la réponse de Alice, qui d'ailleurs n'en était pas vraiment une. Un grand sourire illumina son visage, cela faisait longtemps qu'il n'avait pas vu d'enfant. Perrin regarda Alice dans les yeux un court moment pour ne pas s'y perdre une fois de plus.

- Bien sûr ! Cela fait un moment que je n'ai pas rencontré d'enfant ! Mais... Ne vais-je pas leur faire peur ? Après tout... Il ne me connaissent pas... Je ne voudrais pas les effrayés !

Perrin n'avait toujours pas lâché la main de Alice et la serra un petit peu plus, le sourire toujours aux lèvres. Il tira ensuite la main Alice et l'entraîna à sa suite guider par ces narines et donc l'odeur de nourriture s'échappant des cuisines et de la salle de repas. Il avancer à une cadence assez rapide et lorsqu'un enfant déboula juste devant lui, passant apparemment d'une chambre à une autre, il dut s'arrêter brusquement ce qui fit que Alice lui rentra dedans bien malgré elle et ils se retrouvèrent tout deux à terre. Perrin ouvrir les yeux et vit le visage de Alice juste au dessus du sien. Le rouge s'empara à nouveau de ces pommettes. Il ne sut vraiment pas quoi dire et donc ne dit rien tout simplement. Il approcha son visage de celui de Alice, ces yeux innocent disparurent laissant place à cette partie "adulte" de lui-même. Mais avant de toucher les lèvres de Alice avec les siennes, il se résorba, ne voulant pas l'offusquée.

Alice était très contente que Perrin accepte. Pour elle, les jeunes de l’orphelinat étaient comme ses propres enfants. Elle les adorait! Elle voulait donc lui présenté ses filles et ses fils de cœur!

-Ne t’inquiète pas, si tu es avec moi, ils n’auront pas peur. De toute façon, tu ne portes pas de sarrau blanc donc tu devrais passer le test! Allez suis-moi.

C’est en se dirigeant vers la salle à mangé qu’Alice réalisa que Perrin lui tenait toujours la main. Elle ne le retira pas même si ça la gênait un peu. Elle ne voulait pas que ça se voit alors elle tourna la tête. C’est pourquoi elle ne vit pas Julien foncer sur Perrin et elle. Tout à coup, elle se retrouva au sol avec Perrin au dessus d’elle. Jusqu’à présent, elle avait réussi à bien caché ses émotions. Mais à ce moment, c’en était trop. Elle était rouge pivoine. Elle ne s’était pas attendue non plus à la réaction de Perrin. Lorsqu’il s’approcha d’elle comme pour l’embrasser, elle retint son souffle. Lorsque finalement il recula, elle recommença à respirer. Elle entendit au loin le petit Julien crier au autre enfant dans la salle à mangé :

-Mademoiselle Alice à un petit copain!

Alice reprit vite le contrôle sur elle-même. Elle était troublée mais elle ne pouvait pas le laisser paraître. Elle devrait penser aux évènements plus tard. Pour l’instant elle avait d’autre chat à fouetter. Elle devait calmer les enfants qui étaient devenu fou depuis l’annonce de leur ami. Il n’y avait que les plus vieux qui restait sérieux mais qui n’était pas moins curieux. Le silence finit par revenir avec l’aide de M et Mme Colman. Alice demanda au jeune homme d’entrer.

-Les enfants, voici Perrin. C’est un de mes amis. Il va rester ici un moment. Il va m’aider à aller sauver d’autre enfant alors soyez gentil avec lui et pas trop curieux. N’allez pas le harceler de questions!

Alice invita Perrin à s’assoir à côté d’elle.

Perrin vis Alice rougir et un sourire nacquit sur les lèvres du loup, elle était encore plus mignonne avec cette teinte rouge au niveau des pomettes. Il se redressa aidant Alice à faire de même et cacha la rougeur de ces propres pomettes grâce à ces cheveux. L'enfant qui lui avait coupé la route était en train de lancer une rumeur à ces copains qui fit rougir d'autant plus Perrin. Heureusement Alice et le personnel agirent assez vite pour calmer les enfants. Puis une fois que l'ordre fut de retour dans la salle Alice annonça aux enfants sa présence qui n'était plus vraiment un secret, les enfants pointaient du doigt Alice et Perrin se qui fit naître un sourire un peu gêné sur le visage de Perrin. Il répondit a l'invitation de Alice d'un hochement de tête et alla s'assoir à côter de la jeune femme. Des plats furent servit sur les différentes tables et tous commençèrent a manger. Voyant du pain sur la table, Perrin voulut ce servir, mais Alice eut la même idée, au même moment, leur mains se rencontrèrent et les deux se retirèrent tout aussi vite, Perrin rougit un peu, puis un peu plus encore en entendant les rires et les commentaires des enfants qui semblaient l'avoir déjà adopté. Perrin gêné murmura un rapide mot d'excuse.

- Je... Excuse-moi, vas y sert toi je t'en pris.

Une fois qu'elle fut servie, il pris du pain a son tour et le mangea doucement n'osant rien dire, préférant songer a ce qu'il c'était passé dans le couloir, il avait été si proche du fait de l'embrassée... Pourquoi avait-il fait cela ? Pourquoi n'avait-il pas été jusqu'à l'embrassée si c'était ce qu'il voulait ?

Tant de questions se bousculée dans la tête de Perrin qu'il ne se rendit pas compte qu'un petit garçon se trouvé juste a côter de lui pour lui parler.

[HRP : Désoler du délais, mais en ce moment je suis assez pris avec les cours, le bac blanc dans deux semaines, donc j'essayerais d'être plus rapide la prochaine fois ! Promis !]

[Désolé si c'était long... J'essayerai d'être plus rapide la prochaine fois. J'ai aussi été un peu expéditive car le RP commençait à tourner en rond. Je voulais que ça s'avance un peu qu'on passe à autre chose! ^^]

Le reste du repas se passa sans incident majeur. Du moins contrairement au repas de d’habitude. Les enfants essayaient de bien se tenir lorsqu’il y avait des invités. Encore plus lorsqu’il s’agissait du supposé copain d’Alice. Il y avait eu un petit soulèvement lorsque sa main et celle de Perrin c’était touché alors qu’ils allaient au même moment se servir du pain. Elle avait contrôlé sa rougeur pour une fois. Elle était pourtant habituée de cacher ses émotions. Pourtant, avec Perrin c’était plus compliquer. Elle avait des difficultés à garde son «poker face».

Durant le repas, l’homme-loup semblait absent. Certains enfants manifestaient le désir de lui parler, mais il ne remarquait pas. Pauvre petit. Heureusement, après les repas, les enfants devait aller en cours. Ils partirent donc vers leur salle de classe. Alice quant à elle invita Perrin à la suivre dans son bureau. À ce moment-là, la jeune femme avait totalement repris ses esprits. Son trouble était passé. Elle sortit des cartes et toute sorte d’instrument de mesure. Elle lui présenta les lieux proches de l’institue qu’ils devaient attaquer. Présenta le plan qu’elle comptait appliquer. Rentrer par la porte E, faire on court circuit dans l’ensemble du bâtiment créant ainsi une panne d’électricité, ensuite ils se diriger vers la salle où se trouve les enfants (elle a eu ses informations par fax à peine quinze minutes plutôt) puis repartir en prenant l’hélicoptère qu’elle avait emprunté à sa sœur Mina. Bien sur, à quelque part dans ce plan, ils auraient à ce battre. Quand était la question.

-C’est durant la nuit de dimanche à lundi qu’on attaquera. As-tu des questions? Des suggestions?

[Vraiment désoler du temps de réponse et du fait que ce soit court !]

Perrin suivit Alice lorsqu'elle l'entraîna dans son bureau. Elle sorti tout un arsenal, dont Perrin ne connaissait même pas la moitié. Elle lui expliqua le plan, mais il ne comprit pas tout, alors dans sa tête il se fit son propre plan qui était simple comme de dire bonjour... Lorsqu'elle lui demanda si il avait comprit Perrin se mit à sourire.

- Des questions ? Aucune, des suggestions non plus, des remarques par contre oui ! J'avoue ne pas avoir totalement compris ton plan, alors je suppose que te suivre et protéger les enfants et toi sera suffisant. Et je voudrais aussi une chose...

Perrin ce mit bien droit et regarda Alice dans les yeux. Il avait beaucoup réfléchit à cela, car il se rendait bien compte que il n'était pas en mesure de ce protéger seulement avec ce que la nature lui avait donné à savoir ces crocs et ces griffes, mais il ne voulait pas d'une arme à feu beaucoup trop bruyante pour son ouïe assez fine. Alors il avait décidé de demander à Alice une lame et si elle pouvait trouver quelqu'un pour lui apprendre les base.

- Je... Je voudrais une épée et je voudrais, si tu connais une personne qui en est capable, que tu trouve une personne capable de m'apprendre les bases de l'épée avant l'attaque, s'il te plait !

Il était près à ce mettre à genoux si il le devait, car il voulait à tout prix pouvoir la défendre et il savait très bien que seul ces armes naturelles ne seraient pas suffisante.

- Me transformer en loup puis en humain trop de fois serait trop fatiguant alors il me faut un moyen de me défendre dans les deux "peaux". Serait-tu capable de me trouver cela ?

[HRP: Bon moi aussi c'est plutôt court... Au moins j'ai été rapide pour répondre (pour une fois!^^)]

Alice fut quelque peu surprise de sa demande. Elle devait avouer ne pas imaginer Perrin avec une épée entre les pattes (désolé du mauvais jeu de mots…). La surprise passée, Alice sourit. Si apprendre à manier l’épée était ce qu’il voulait c’était ce qu’il aurait.

-Très bien, suis-moi.

Encore une fois, Alice traina Perrin jusqu’à une nouvelle salle. Cette fois, c’était une pièce où le toit et les murs étaient tous en verre. On pouvait presque se croire à l’extérieur en pleine forêt. Alice se dirigea vers une immense armoire. Elle sortit une petite clé de sa poche et l’ouvrit. Elle rentra ensuite un code de quatre chiffres. Lorsqu’elle ouvrit enfin les portes, on pu finalement voir ce que placard renfermait. De dans, il y avait des armes de doutes sorte. Épée, lance, arc, poignard, dague et bien d’autre. Elle prit une épée d’entrainement qu’elle donna à Perrin. Elle s’en prit une pour elle-même.

-Tu as de la chance, on a même pas besoin de t’appeler un mentor. Il se trouve que je maitrise parfaitement l’épée. Ce n’est pas mon arme de prédilection. Je préfère le corps à corps. Mais mon propre maître à fait du bon travail avec moi.

Alice se rappela de ses entrainements avec sa sœur Mina. Que de bons souvenirs! Bien sûr, il y avait aussi eu beaucoup de douleur. Elle comptait appliquer le même type d’entraiment sur Perrin. Surtout qu’ils n’avaient que quatre jour. Dès dimanche, ils devaient attaquer la base pour sauver les enfants.

-Commençons! dit Alice avec un petit sourire diabolique.

Sans plus attendre, Alice commença l'entrainement de Perrin.

Perrin fut assez étonné en voyant le sourire sur le visage de Alice, lui qui s'attendait plutôt a des remontrances ! Mais il la suivit docilement. Tout deux entrèrent dans une pièce magnifique, les murs et le plafond était fait de verres si bien, que l'on ce serait crut a l'extérieur ! Seul quelques meubles était dans la pièce, Alice se dirigea vers l'un d'eux et l'ouvrit d'une manière bien complexe. Perrin attrapa maldroitement la lame qu'on lui lança et il se trouve qu'elle était simple a tenir et particulièrement légère ! Le loup passa la lame d'une main a l'autre en faux expert qu'il était. Il l'a regarda et murmura un merci, n'ecoutant pas vraiment ce qu'elle disait après. Il allé devoir prendre des vies avec "ça" ?! Puis Alice démarra l'entraînement.

- D'accord !

Perrin tenta maladroitement de lui porter un coup, sans même essayer de faire une feinte ou autre un coup tout simple. Ce dernier fut parer aussi aisément que si il taper avec un brin d'herbe. L'aisance et la Grace des mouvement d'Alice était a couper le souffle ! Mais Perrin n'avait pas dit son dernier mot il essayer d'enregistrer tout les mouvements que faisait Alice puis de les reproduires. Sans succès au départ, mais il semblait que Perrin commencer tout doucement a s'améliorer...

Deux ou trois heures était déjà passer quand Perrin tomba sur l'arrière train a bout de souffle il avait perdu la notion de temps. Perrin retira son haut dévoilant son torse couvert de sueur ne rougissant même pas. Ou il était trop fatiguer pour être ennuyer par cela ou alors il réfléchissait encore a son entrainement. Il se releva seulement quelques minutes après s'être mis assis et recommença plusieurs mouvement qu'il avait enregistrer dans le vide pour laisser Alice se reposer un peu. Elle savait se battre, lui avait peu de temps pour apprendre !

Il continua comme cela encore un petit moment puis lacha l'epee qui rebondit sur le sol, il se dirigea vers Alice et se tint a coter d'elle attendant qu'elle veuille reprendre son entrainement.

Alice fut impressionnée par Perrin. Il avait un très bon instinct. Bien sûr, il était loin de son nivaux puisqu’elle avait des heures de pratique mais lui, dans son cas particulier avait l’instinct animal en lui. Lorsqu’ils prirent enfin une pose, elle put vraiment réfléchir à ce détail. Peut-être qu’elle pourrait exploiter cet instinct au maximum puisqu’il n’avait que quelques jours de pratique. Lorsque le jeune homme vint se mettre à côté d’elle, elle sourit. Décidément, il était prêt à tout pour s’améliorer. Alice voulait tester sa théorie (elle avait son côté scientifique).

-Nous allons continuer, mais nous allons faire différemment.

Alice sourit encore une fois, mais un peu plus… comment dire… diabolique?? Elle alla chercher un bac avec des boules de neige.

-Un des enfants à la capacité de transformé l’eau en neige. Comme passe temps, il fait des boules de neige qu’il s’amuse à lancer sur des cibles. Je lui ai demandé la permission de lui prendre celle-ci. Je vais te lancer une boule après l’autre et toi tu devras les couper. Elles sont assez solides pour qu’elles n’éclatent pas, mais pour qu’elles se coupent.

Elle alla chercher dans l’armoire, deux autres choses. Une paire de gant noir et un… bandeau? Devant l’air surprit de son nouvel ami, elle dut le prévenir.

-Oh j’avais oublié! Tu feras cet exercice les yeux bandé.

Sans plus tarder, elle commença. Elle voulait savoir à quel point il sentait ce qu’une personne normal ne sentait pas. Elle lançait de tous les côtés et à toutes les hauteurs. Alors, Perrin réussira-t-il cette nouvelle épreuve?

Alice se leva décidée à reprendre l'entrainement apparemment. Elle alla chercher un bac de boules de neige, ainsi qu'une paire de gant et un bandeau tout deux noires. Cela surpris assez Perrin qui ne comprenait pas l’intérêt d'un bandeau dans cet entrainement... Elle lui expliqua alors qu'il allez faire cet exercice les yeux bandé. Perrin ferma les yeux et souffla un coup pour se détendre.

- Très bien, allons-y !

Le loup prit le bandeau et l'attacha autour de son cou avant de le monter à la hauteur de ces yeux. Ils se retrouva dans le noir complet, ce qui l'effraya un peu car après tout ce n'était pas souvent qu'il se retrouver dans le noir complet, grâce au fait qu'il puisse voir un peu dans le noir. Il hésiter à bouger car il n'avait pas tellement d'équilibre une fois privé de la vue. Il se concentra sur son ouïe d'une pour éviter de penser à son équilibre et de deux pour essayer d'entendre les déplacement d'air. Il voulait se baser la-dessus pour réussir à savoir d'où venait les boules. Les trois premières boules de neiges le frappèrent de plein fouet. Une au visage, une dans le ventre et une dans les jambes. Mais il réussit, sans trop savoir comment à dévier la quatrième et la cinquième, puis se rendant compte qu'il faisait cela par pur instinct comme lorsqu'il utiliser ces griffes en étant transformer, il laissa son instinct prendre le dessus. Au départ il ne faisait que dévier les boules de neige. Puis au fur et à mesure il commença à les découpées au début il ne découper qu'un petit morceau de chacune, mais suffisamment pour ne pas être touché, puis a force il s'améliora et réussit au final à trancher chaque boule de neige pile au milieu de celle-ci. Il continua de cette manière jusqu’à ce qu'il ne ressente plus aucune boule de neige arrivée vers lui. Il enleva le bandeau et adressa un sourire à la magnifique jeune femme.

- Satisfaite Alice ?

[HRP: Désolé si ça a été long... Je vais t'envoyer un MP dans quelques minutes pour te parler de l'évent!]

Lorsque Perrin lui demanda si elle était satisfaite, elle lui répondit :

-Presque!

Sur ce simple mot, elle continua encore un peu l’entraînement puis le laissa tranquille… pour le reste de la journée. Alice était heureuse de constater qu’elle avait visé juste. Perrin avait un instinct très puissant. Le soir même, elle passa un peu de temps à préparer un horaire d’entrainement pour Perrin. Le reste de sa nuit fut séparé en deux partis. La première, elle la passa à élaborer son plan pour sa mission du dimanche. Elle devait avoir son plan de match de fait. Une occasion rare se présentait à elle. Elle avait un allié. Bien sûr, sa nature la poussait à se méfier. Elle avait confiance qu’en elle. Mais pour une fois, elle ne voulait pas se battre seule. Elle devait bien l’avouer, elle était épuiser. Depuis les derniers mois, elle n’avait pas eu de répits. Elle qui pensait prendre du repos en venant à l’orphelinat. Mais bon, elle avait l’habitude. C’était sa façon de rester en vie. La dernière partie de sa nuit fut consacré à prendre deux heures de sommeil. Elle se coucherait plus tard.

Dès son réveille, elle commença sa journée par une bonne course. Au début elle prévoyait amener Perrin. Mais elle décida de le laisser dormir quelques heures de plus. En courant seule dans la forêt, elle se souvint de cette journée. La journée où ces hommes étaient venu et avait bouleversé sa vie à jamais. Peut-être serait-elle aux études encore. Elle serait peut-être même en amour. Habituellement, à l’âge d’Alice, on sort, on se fait des amis et on découvre le monde. Elle avait vu le monde, mais elle n’en avait jamais vraiment vu la beauté. C’est quelques peu de mauvaise humeur qu’elle commença l’entraînement de Perrin quelques heures plus tard. Elle n’avait pas de patience. Décidemment, elle ressemblait à sa sœur Mina. Elle était devenue une vraie Tiran! Elle mit une pose à l’entraînement de l’avant midi plus tôt que prévu. Elle devait prendre sur elle-même. Elle alla dans la cuisine et se versa un grand saut d’eau glacé sur la tête. Ça eut l’effet désiré. Elle avait maintenant la tête bien froide (dans tous les sens du terme!). Par la suite, elle réussi à maintenir son plan initial. Ses sautes d’humeur continuaient. La présence de Perrin la troublait plus qu’elle ne voulait se l’avouer. De plus, la pression de sa mission prochaine pesait sur ses épaules. Le samedi soir arriva enfin. «Il était temps!» devait se dire Perrin. Il devait avoir mal partout, le pauvre. Alice c’était vraiment défoulé sur le pauvre jeune homme. Il était plus facile pour elle de paraître sévère que de s’ouvrir à lui. Comme c’est beau le cœur d’une jeune fille qui palpite!

-Alors, tu es prêt à partir?

[Je me suis permis un petit extras pour le katana, mais si tu n'est pas d'accord fait moi signe !]

Perrin continua avec Alice l'entrainement encore un peu, puis ils finirent par arrêter pour cette journée si. Il Voulut passer encore un peu de temps avec Alice, mais elle s'éloigna et il ne réussit pas à la retrouvée, il était donc parti rejoindre sa chambre pour se reposer en attendant le prochain entrainement, avec beaucoup d'impatiente, car cela impliquer de revoir Alice et il était fou de joie a cette idée. Le lendemain matin, le jeune homme ouvrit la fenêtre de la chambre qu'on lui avait accordé dans l'orphelinat et apperçut Alice qui partait dans la forêt en courant, ce demandant pourquoi il se changea en loup et entreprit de la suivre discretement. Ce qu'il réussit d'ailleurs avec brio ! Il la suivait à distance, mais pas de trop loin pour ne pas la perdre de vue. Il la dépassa de temps à autre pour pouvoir l'admirée quand elle passée devant lui sans le voir. Il la suivit ainsi jusqu'a ce qu'elle rentre à l'orphelinat, il se glissa par la fenetre de sa chambre, l'endroit même par lequel il était rentré. Une fois à l'intérieur il se changea en humain et s'assit sur son lit. Il repensa aux images d'Alice qu'il avait gravé dans sa mémoire. Il resenter une chose bizarre dès qu'il poser les yeux sur elle ou lorsqu'il penser à elle, et il ne connaisser pas cette sensation, c'est bien d'aillleurs ce qui l'effrayer assez !

Après cette petite course dans la forêt Alice vint chercher Perrin pour continuer l'entraînement. Les jours passèrent, les bras de Perrin se renforcer au fur et à mesure, il devenait un peu meilleur chaque jour, mais Alice était devenue assez sévère avec lui, peut être pour qu'il s'améliore plus vite ! Puis le jour J arriva, Perrin était exiter, mais effrayer aussi, jusque la il n'avait jamais tuer de véritable personne, des animaux oui, pour se nourrir, mais des gens ? Non ! Jamais ! Il passa sa main dans ces cheveux et regarda Alice dans les yeux.

- Evidemment que je suis prêt !

Perrin prit la main de Alice le rouge un peu au joue et l'attira dehors son katana dans son dos. il avait trouver dans la salle d'entrainement un katana qu'il avait trouver magnifique, la poignée était d'un rouge couleur sang, alors que la lame était noire comme les ténébres. Des ténèbres qui était traversé par un loup d'une blancheur immaculée et finement gravé dans la lame. Il avait tester sa résistance au risque de brisée la lame si jamais sa n'était qu'une lame d'apparat, mais elle c'était révélée être une arme pour le combat. Sa main toujours dans celle de sa camarade, il se tourna vers elle et lui demanda.

- Par où allons-nous ?

-Par les airs! dit-elle avec un sourire.

Justement, au même moment, un hélicoptère arriva. Il se posa un peu à l’écart de la maison dans une clairière naturelle. Elle avait demandé à sa sœur Mina de lui prêter l’un de ses hélicoptères. En gentille grande sœur (elle ne voudrait pas que l’on dise cela d’elle!), elle avait accepté. Elle connaissait le pilote, c’était toujours le même. L’avantage de l’engin que Mina avait sélectionné, c’est que même s’il paraissait petit, il avait une très bonne capacité. Pour les sauvetages rapides, il était parfait. Avant de partir elle vérifia que toutes ces poches faites pour cacher ses armes étaient remplis. Bien qu’elle soit très talentueuse, elle préférait les couteaux à lancer et le corps à corps. Donc en plus des deux belles dagues attachées dans son dos, elle avait environ une quarante petits couteaux à lancer de tous genres. Elle portait des pantalons noirs et des bottes hautes. Elle avait aussi revêtu une cape pour créer une illusion de mystère. Elle aimait créer la peur chez les hommes et les femmes qu’elle combattait. La peur les rendait plus faible. De plus, c’était un élément de combat pratique pour surprendre son adversaire.

Lorsqu’elle fut certaine de n’avoir rien oublié, ils montèrent dans l’hélicoptère. Alice avait une flamme sauvage dans les yeux. C’était toujours le cas avant une mission importante. Mais cette fois, c’était spécial. Elle avait un allié. Pouvait-elle vraiment s’appuyer sur ce garçon sans expérience de combat qui pourrait très bien se faire tué dès les premières occasions. Mais bon, même si après tout ce temps passé avec lui elle s’était attaché plus qu’elle ne voulait, elle préféra de pas s’en inquiété. Son instinct hors du commun le sauverait. Quelques choses lui disait que peut importe ce qui arriverait, ils se reverraient.

-Le plan est simple. La première étape est de pirater le système de sécurité assez longtemps pour qu’on rentre dans le bâtiment. J’ai appris les bases du piratage ce sera surement un jeu d’enfant. Les informations que j’ai sont assez précises sur l’emplacement des enfants. Une fois que nous les auront trouvés il faudra les amener sur le toit où l’hélicoptère viendra nous prendre. Au mieux, on passe invisible. Au pire… On ne pense jamais au pire, ça porte malchance! Seulement, si on est pris… oublis tout ce que tu sais comme ça ils te tueront vite.

Alice s'était assuré que Perrin comprennne bien toutes les étapes du plan. Il faudrait qu'il travaille en équipe. Ils arrivèrent presqu’une heure plus tard près de la base. Ils durent marcher une autre demi-heure. Alice s’occupa de pirater le système de caméra, le système d’alarme et celui pour ouvrir les portes. Pour ce faire, elle avait utilisé un petit dispositif créé par Shay plusieurs années plutôt. Cet objet faisait presque tout le travail de piratage seul. Une porte d’entrepôt s’ouvrit rapidement. La mission pouvait commencer.

-On y va!

[HRP : Je te laisse faire des initiatives pour si la mission va comme prévu ou pas. Condition des enfants : Enfermé pour la plupart et certain blessé et un enfant inconscient qu’il faudra porter. Au total, il y aura huit enfants]